Stage Espagne Jour 5
SORTIE dite de récupération, 40 kms en 2 heures.
L’objectif de cette sortie est principalement axé sur la récupération des troupes (même la voiture du club puisqu’elle est restée au garage) et de simuler des situations de course.
Lors de l’échauffement, chaque coureur est venu chercher un petit papier auprès d’un coach, qui définissait un rôle à jouer. Nous avions un leader, des poissons pilotes, des attaquants, des rouleurs, etc…
Nous avons fait deux situations de course et chaque coureur a respecté à la lettre les consignes écrites sur les petits papiers.
L’après midi est resté traditionnelle avec du repos obligatoire, car on sent que les petites jambes de nos coureurs commencent à être lourdes. Normal après 5 jours de vélo consécutif !!!
La phrase du jour : Le train Châtillonnais est prêt pour la saison à venir : ATENCIO !!!
Live de l’éducateur « Vincent » : Maintenant que la voiture s’est reposé, je vais pouvoir en refaire demain !!!
Live des coureurs :
Samuel : Vive les entrainements motorisés.
Jérôme : Les forces s’amenuisent, le reste du stage risque de se compliquer !
Aujourd’hui petite sortie de récupération, 80 kms au programme avec très peu de relief. Bastien et Clémént partent de leur côté pour des exercices spécifiques. Le soleil est là et le vent est très faible (nous aussi !). Les 40 premiers kilomètres tous plats sont avalés au train, les 20 suivants plus chaotiques sont abordés de manière différente selon l’état de forme de chacun, une petite accélération derrière un tracteur qui roulait bon train (40 km/h), et nous revoilà sur le plat pour rentrer calmement jusqu’à l’hôtel et la douche.
Cet après-midi le coll del Bombo et le monastère par le côté le plus difficile sont au menu, suite à une mésentente Clément et Bastien ne sont pas de la partie, ils iront faire 2 h seules (c’est très dommage, il faudra mieux se caler la prochaine fois) Jérôme ayant pris sont après midi pour récupérer, se sont seulement trois gregarios qui prennent le départ. Un peu de piste cyclable jusqu’à Rosas pour remettre la machine en route, et nos trois compères gravissent le premier col groupé, une petite descente pour le fun et c’est le plat de résistance, là difficile de rester groupé, la pente est raide et irrégulière, enfin tout le monde arrive au sommet avec des petits écarts. Une nouvelle descente, direction Garriguella, Peralada ou Sam se met dans le coffre d’un camion (ça fait trois fois aujourd’hui qu’il réitère ce genre d’exercice, peut être devrait il penser au Kérin…) puis c’est le retour à l’hôtel, pour la douche.