Jura – Doubs 2ème jour

Après une nuit réparatrice à 7h30 tout le groupe se retrouve pour partager le petit déjeuner, pas d’œufs pour Marius (les poules n’étaient pas d’humeur !) mais chocolat à l’eau.

Nous chargeons les sacs dans le minibus, remettons en état les appartements puis chacun reprend sa monture et c’est parti pour une nouvelle étape (relativement facile ; 115 kms et un peu moins de 1400 mètres de dénivelé positif) !

Il fait frais ce matin, les coupe vents sont de rigueur surtout que nous avons une grande descente en début de parcours après 15 kms juste avant de traverser Les Rousses les coupe vents sont retirés (juste avant la grande descente c’est ballot !), nous filons grand train dans la descente qui nous mène à Morez. A la sortie de la ville nous nous retrouvons sur une piste cyclable à flanc de montagne très agréable malgré un revêtement pour le moins dégradé et Tchoune en profite pour percer de la roue arrière. La piste prend fin après une dizaine de kilomètres et le retour sur la route est violent avec un tronçon avec des pentes de 14%. Une fois cette difficulté passée avec brio par nos cyclos Châtillonnais, nous reprenons le cours de notre circuit avec des petites montées, des petites descentes, un peu de plat avec un invité de choix : le vent ! qui nous est défavorable. Ainsi nous traversons St Laurent Grandvaux, Foncine le Bas, Les Planches en Montagne et une bonne descente jusqu’à Bief des Maisons, pied de la dernière ascension avant la pause casse croûte, que nous faisons à Azure-Azurette. Nos deux accompagnateurs (Jean-Pierre et Barnabé) nous ont prévu un bon encas que nous essayons de déguster dans une ambiance coupe bordure thermique un peu bruyante il faut le dire.

Ceci fait, nous enfourchons de nouveau nos vélos pour la fin de l’étape. Le final est relativement facile malgré le col de St Sorlin qui culmine à 1142 mètres mais dont les pentes ne sont pas redoutables.

Après quelques erreurs de parcours lié au GPS ou celui qui le lit, nous arrivons enfin à l’hôtel des Gentianes (notre hébergement du jour) où le patron nous attend.

Une bonne douche, et c’est la traditionnelle bière ! (nous avons de la chance, l’hôtel fait aussi bar en plus de restaurant).

Un petit tour du village à pied et il est l’heure de passer à table !

Nous avons tous très faim (vélo ou grand air ?) aussi nous apprécions le menu proposé.

IL faut maintenant rejoindre nos chambres pour nous coucher avant que le marchand de sable ne passe…

Bonne nuit les cyclos !