Week-end familial – Jour 2

8 h 00 ; petit déjeuner tout le monde se retrouve autour de la table pour le pain, les gâteaux, les croissants, café (et chocolat), jus d’orange et autres céréales. Après cette petite collation les cyclistes se donnent rendrez vous à 9 h 00 pour la sortie de 125 kms, même horaire pour les marcheuses. Nous (les vélocipèdistes) récupéront les sandwichs préparés par l’hôtel, puis nous enfourchons nos montures, pour de nouvelles aventures. Ce matin le temps est couvert, et dès la sortie de Sénas déjà le ciel commence à pleurer, rien de catastophique, juste de quoi mouiller la poussière. Nous roulons à allure modérée jusqu’à la première petite bosse où quelques excités accèlèrent l’allure. Une fois le groupe reconstitué, nous reprenons le train de sénateur pendant 56 kms sur des routes presque plates, jusqu’au pied du col de Sarragan, où une fois de plus c’est la bagarre pour être le premier à passer au sommet. Une fois le groupe reconstitué il est décidé de pique-niquer aux Baux de Provence juste en contre bas. Il y a un monde fou sur la route qui jouxte les Baux de Provence, du coup nous trouvons un parking un peu plus bas pour déguster notre sandwichs. Après cette pause (toujours agéable) ravitaillement nous reprenons le cours de notre périple. Il nous reste encore une petite bosse pas très pentue qui est avalée par le groupe. Au sommet une crevaison nous retarde (il faut réparer et Monique s’impatiente !). Après cette escale technique nous fondons sur Orgon à grande vistesse, les attaques fusent du coup c’est un groupe éfiloché qui arrive à Orgon. La traversée du village dans une circulation dense est compliquée, certains prennent une route touristique pour rentrer à Sénas alors que d’autres rentrent par la nationale. Une fois à l’hôtel nous retrouvons nos marcheuses en terrasse qui viennent de finir leur collation. Leur promenade a été plus longue que prévu ; du coup adieu le resto et bonjour les casse croûtes (et les petits gâteaux !). Les cyclistes vont directement à la douche pour certains, pour d’autres ce sera après une petite bière. Les premiers à être douchés reviennent boire la bière avec une petite (voir grosse) pâtisserie achetée à la boulangerie toute proche. Alors que nous sommes tous réunis, il est décidé d’aller voir des vachettes à Eygalières. Nous arrivons dans un des plus beau village de France, mais pas de vachette, nous demandons à plusieurs personnes (pas de bol des touristes) puis nous nous arrêtons devant un bar pour nous renseigner, mais pas de vachettes. Nous nous rabattrons donc sur la visite du vieux village qui nous mène vers des ruines à son sommet. Cette ascension nous a assèché le gosier, il est donc décidé à l’unanimité de boire un coup au bar devant lequel nous sommes garés. Une fois réhydratés nous rentrons à l’hôtel, pour l’apéro (fin du punch de Martine), puis passons à table. Un fois le ventre plein comme les petits nous allons faire dormir les yeux !

Bonne nuit !!!

cof